Les protections hygiéniques seraient-elles devenues un danger potentiel pour les femmes ? Un rapport dénonce des résidus dans les protections périodiques destinées aux femmes. On fait le point.
Même si il reste difficile d’affirmer leurs conséquences à long terme sur la santé des femmes, un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) publié récemment par le magazine « 60 millions de consommateurs » révèle la présence de résidus de glyphosate et de phtalate dans les protections hygiéniques féminines.
Pourquoi a-t-on découvert du glyphosate dans les protections hygiéniques féminines
Les fabriquants n’auraient alors pas tenu compte d’indications remontées par l’agence nationale de sécurité sanitaire ou ANSES, datant de 2017.
Sachant qu’une femme utiliserait tout au long de sa vie, 11 000 tampons ou serviettes hygiéniques.
Et que, par ailleurs, dans la plupart des tampons ou serviettes se trouve des résidus de produits chimiques, y compris dans certaines très connues Bio ou pas – que nous ne citerons pas ici.
Les résidus dans les serviettes et tampons sont-elles vraiment dangereux ? 🤔
60 millions de consommateurs estime que « les contaminations par des résidus de molécules à risque persistent ».
Mais il reste difficile d’affirmer leurs conséquences à long terme sur la santé des femmes.
En guise de recommandation, il est fortement préconisé d’utiliser des alternatives aux tampons et serviettes : la coupe menstruelle ou cup (lire notre article sur les coupes menstruelles), l’éponge menstruelle et bien sur les culottes menstruelles, voir notre article sur nos culottes menstruelles.
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